Art athlétique et lacher prise : - de 24h sur "sa" TDS
📷 L'interview en biais - Simon Dugué | Art athlétique et lacher prise : - de 24h sur "sa" TDS
C’est certain, vous avez déjà vu ses clichés. François dans la rivière Diagonale, Jim sur l’arête beaufortine, Bapt’Chassagne sur l’UTMB24 : c'est lui. À 32 ans, Simon Dugué n’a plus peur de s’avouer artiste en mouvement – « raconteur d’histoires », précisément. Parmi le gang de Beaufort (Jim, Sim’s, Franck), ce Simon-là manie caméra et cannes pour suivre les plus grands champions. Règle n°1 : assurer. Tu traines, tu sors.
Car si l’ado de l’Hérault est devenu l’un des regards les plus talentueux et réputés du trail, M. Dugué reste un athlète. 2h34’ au marathon ou 2h40’ caméra au poing (excusez la contre-perf’ ?), trails et ultras inclus, Simon jouait depuis 2021 un tango fatal avec sa course de cœur. T, D, S : deux abandons successifs et la spirale du questionnement qui débute. Et mes proches ? mes followers ? les exigences, suis-je à ma place ? pire : et si…je me l’étais jouée ?
Et voilà que mardi 27 aout, nous (re)découvrons Simon Dugué. Il est 23h42. Il l’a fait, et de quelle manière : 23h52’10’’. Début d’une vague…
Comment a-t-il fait en 2 ans pour s’affranchir du regard des autres alors que sa popularité n’a fait que croitre
Comment trouver sa place entre compagnons de haut niveau, sensibilité esthétique et désir de perf’ ? On parle d’amitié plurielles, il y a de la transcendance dans l’air, mais surtout du mouvement. Et des histoires.